Voyage En Belgique, Vers LEnfer. (8/20)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Les dernières filles redescendent, parmi elle, l'amie de Noémie qui continue à menvoyer des yeux noirs, jai limpression que je me suis fait une copine.
Alors que nous sommes entre nous, tous les clients sont partis, Hugo descend avec les deux malabars.
Il détache Noémi de sa roue, mais la laisse allongée dessus.
Il sapproche du bar et ouvre nos boîtes une à une.
Rapidement la petite prend une longueur sur chacune de celles qui sont ouvertes, il reste trois boîtes à ouvrir, cest au tour de la mienne, je suis deuxième, suivie de celle de la grande noire dont je ne connais pas le prénom, car nous nous sommes évitées toute la journée.
Hugo ne touche pas à la boîte de Noémie.
Bien sûr, elle est vide, même si prendre des bites dans le corps par contrainte, nest pas agréable, bien que mon intermède avec ma cliente fût aux limites de ce qui est permis, rester 11 heures sans très peu bouger, pour pas un rond doit vous casser. Nest-ce pas ce quils cherchent avec cette roue, vous souffrez gratuitement ?
Je prends un jeton noir et un rose dans ma boîte et les places dans la boîte de la grande, les filles sont surprises, mais la petite Marjorie prend un de ces jetons noirs et mimite.
Bien sûr, il faut toujours quil y en ait une qui se démarque du groupe, mon ennemie me fusille du regard et tourne les talons en entraînant Marjorie qui nose la contrarier.
Les deux malabars se saisissent de Noémie chacun par un bras et une jambe et lui font monter lescalier comme sils portaient un sac à patates.
Je les suis, dans lescalier, jai la chatte épilée de mon amie devant mes yeux, je vois nettement les traces de cravaches sur sa vulve, une trace bien prononcée zèbre ses grandes lèvres, le coup de la salope jalouse doit y être pour beaucoup.
Ils ouvrent la porte, la dépose sans ménagement dans la baignoire et ouvrent leau en tournant un seul bouton, le froid bien sûr.
Ils sortent, je me précipite auprès de celle qui a souffert.
Leau qui coule sur son corps étant froide, jéquilibre la température tout en caressant son visage.
Lévacuation nest pas fermée, je vois couler leau tintée, ma grande à un visage qui sillumine à mesure que son corps se vide, depuis combien de temps se retenait-elle ?
Après un long moment de prostration, Noémi commence à bouger, chaque mouvement semble un calvaire pour ses muscles, je laide à se laver.
Lorsque je lui passe le gant savonné sur la chatte, dune main tendre, je lui cajole le clitoris qui malgré la fatigue lui permet davoir une petite jouissance.
Pour la rincer, je commence à vider leau et avec la pomme de douche, je la rince intégralement, quand sa chatte est propre, voyant cette fente que je naurais jamais dû voir si je navais pas été obligé de venir me prosti, jai un mouvement de tendresse, comment la ramener jusquà notre lit.
Après bien des efforts, jarrive à la relever, léponger puis de lessuyer rapidement et de venir lallonger directement sur le lit.
Je retourne rapidement prendre une douche en insistant sur lintérieur de mon vagin et mon petit trou pour adoucir la légère douleur après les nombreuses pénétrations que jai endurées.
Je nai rien entendu, mais une personne nous a posé deux plateaux pour que lon puisse reprendre quelques forces.
Jarrive à la nourrir sans quelle soit obligée de se relever.
Ce repas plus la volonté dêtre maître de sa vie lui permet de retrouver toute sa lucidité.
Les deux malabars qui lont remonté entrent sans frapper ne sinquiétant pas si nous sommes habillées ou nues pour enlever les plateaux.
Je la rejoins sur le lit et la prends dans mes bras.
Que veux-tu savoir ma chérie ?
Commence à mexpliquer, comment tu tes retrouvé dans ce bordel.
Cest Pierre, ton mari qui ma piégé.
Alors quelle allait commencer, la porte souvre et Hugo entre, il vient me chercher !
Ma joie est de courte durée Olga le suit et vient se coller à lui.
Il pose sur la table un flacon.
Noémi, tu ne diras pas que je suis insensible, nous tapportons du baume apaisant.
La grande ne lui répond pas.
Léa, après ton petit déjeuner demain, tu iras voir madame Claude au bout du couloir. Bonne nuit.
À la suite de cet ordre, ils sortent, pas un regard vers moi, mon cur saigne, Noémie le sent et cest elle qui me cajole.
Tu vois, tu nes plus rien à attendre de lui, pour eux nous sommes de la matière à baiser, jignore ce que lui fait sa pute pour quil la garde, à ce jour, cest le grand mystère des bordels de ton ex.
Je me lève, prend du baume afin den passer sur les parties de son corps tuméfié.
Tu as la main douce, chérie.
Elle me tend mes lèvres pour la première fois, nos bouches se scellent, sa langue est plus vigoureuse que ses jambes, notre baiser dur, dur, dur, bien sûr, je navais jamais embrassé une femme aussi longtemps.
Elle se love dans mes bras et nous nous séparons un moment.
Lorsquils sont entrés, tu me disais que cétait Pierre qui tavait piégé ?
Oui, jétais à la piscine lorsque je lai vu au bord du bassin, il ne mavait pas vu, il était avec un homme fort séduisant.
Cétait Hugo, Pierre ma présenté lui donnant mon prénom, nous avons sympathisé, sa prestance ma mis en confiance, je venais de rompre avec mon compagnon malgré la naissance de notre , ils savaient et ont profité de ma vulnérabilité.
Cest après cette naissance que je suis venue te voir et que jai bu ton lait.
Exacts, ces seins pleins de lait ont été le point de départ pour Hugo pour me draguer, avec mon maillot, il navait aucun mal à voir que jallaitais.
Pierre sétait éclipsé prétextant une réunion pour son travail, Hugo ma proposé de me raccompagner à mon domicile pour que ma petite-fille retrouve sa maman plus rapidement.
Cette première fois, il a été très gentleman.
Javais récupéré mon bébé et ma fille chez ma voisine qui me servait de nourrice, jétais en train darrêter le lait maternel.
Il a pris ma fille sur ses genoux lui demandant quel âge elle avait.
« Douze ans monsieur ! »
« Tu es bien poli, ta maman télève bien. »
« Si je compte bien dans six ans, tu seras majeur, ça pousse vite à cet âge. »
Insidieusement il venait de placer un pion pour la suite.
Tu sais que jallais tous les lundis à la piscine.
Le lundi suivant, il était là, il ma proposé daller chez lui prendre un café, prétextant quil habitait à 5 minutes, un peu déstabilisée par ma rupture, je nai pas vu le mal, jai accepté, il a été parfait, me laissant repartir sans une avance, cest leur force, ils savent tisser une toile autour de nous.
Le lundi suivant, nous sommes retournés chez lui où il ma fait lamour comme aucun homme ne me lavait fait auparavant, jai joui sous toutes ces sollicitations.
Quand je suis rentré, jétais persuadé davoir trouvé le nouvel homme de ma vie.
Le lendemain, je revenais de mon travail, je suis allé les chercher chez la voisine, elle na pas répondu quand jai sonné, je suis rentrée chez moi, une lettre était posée sur la commode du vestibule bien en vue.
Quand je lai ouverte, il mannonçait que mes s avaient été enlevés et quil me les rendrait si je retournais chez lhomme qui mavait fait lamour la veille.
Si je prévenais la police, je ne les reverrais pas.
La phrase suivante ma glacé le sang.
« Dans six ans à ses dix-huit ans un bordel attend ta fille. »
Jai couru chez la voisine, la porte fermée quand je suis arrivée était ouverte et la voisine était attachée sur une chaise, lorsquelle a été détachée, elle a voulu appeler les policiers, je lai dissuadé et je suis allé chez Hugo.
Quand il ma reçu, il ma demandé de me déshabiller, quand jai été nue, la porte sest ouverte et Pierre ma rivé mon collier ne mayant plus quitté depuis presque deux ans.
Ce jour-là jai été obligé de subir leur double pénétration, Pierre dans la chatte et Hugo dans le cul pendant de longues minutes.
Je ne sais pas comment ils sy prennent, mais cela les a soudés à moi pendant des mois jusquà ce que je comprenne que je n'étais pour eux que de la chaire à baiser et à leur rapporter du pognon.
Ils mont conduite à Anvers où nous irons certainement dans les semaines prochaines, car ils font tourner les filles par équipes dans leurs bordels.
Je nai revu mes s quaprès avoir été entre les mains des clients de celui où nous sommes après trois semaines.
Ils étaient dans le Doubs, ils vivent dans une ferme, lors des week-ends où je les vois, ils les amènent tous les matins et les remmènent le soir, le midi, nous mangeons au restaurant et jai lautorisation de les promener.
Avant de dormir, donne-moi les prénoms de nos compagnes de galère, jai entendu que la petite sappelle Marjorie.
Elle est parmi nous depuis notre dernier séjour à Anvers, sa mère a essayé de senfuir dun lhôtel à Toulon où elle se retrouvait.
Elle a réussi à partir par un Ferri pour la corse, mais ils lont rattrapé, nous ne savons pas où elle est.
À Anvers, un marin dune frégate française nous a dit avoir rencontré des prostituées françaises aux campos allègres à Curaçao, ils lont peut-être expédiée là-bas ou à Amsterdam pour travailler à 50 la passe dans les vitrines.
Pour Marjorie, ils lont dépucelé avant de la mettre dans notre équipe en lui disant quelle devait racheter lerreur de sa mère en senfuyant et quelle serait libre quand ils auront décidé quelle a assez gagné pour quils soient remboursés.
Cest pour cela quelle monte les clients sans aucun tabou, je pense quelle ny arrive jamais, elle leur rapporte trop.
La Martiniquaise sappelle Annabelle, la petite brune sappelle Nadège et la blonde Christine, je nai pas de grand contact avec elle et je ne connais pas leur histoire.
Tu as vu quAnnabelle na pas apprécié que tu dormes avec moi et nous a fait voir sa mauvaise humeur toute la journée.
Je sais, elle ma donné le plus grand coup de cravache, jirais la voir demain quand tu seras dans le bureau de la patronne.
Nous nous embrassons, il est 2 heures du matin lorsque nous éteignons
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